Questions fréquentes
L’inirr, créée à l’initiative de la Conférence des évêques de France, est financée par l’Église, mais est indépendante dans son fonctionnement et ses processus de décision.
Oui, bien sûr, la seule spécificité de l’inirr est qu’elle est compétente pour accompagner des personnes ayant été victimes lorsqu’elles étaient mineures.
Oui vous pouvez saisir l’inirr pour un proche victime, mais la démarche étant personnelle, l’inirr reprendra contact avec la personne directement concernée.
Non, l’Église n’intervient pas dans les décisions prises par l’instance.
L’accompagnement dure en moyenne entre trois et quatre mois, mais il varie en fonction des attentes et des besoins de chacun. C’est un sujet que vous pourrez librement aborder avec votre référent.
Les référents sont des professionnels de l’écoute, salariés ou bénévoles, formés à l’accompagnement des personnes victimes et aux enjeux du psychotraumatisme. Riches d’expériences professionnelles diverses (juridique, psychologie, médiation, médicosocial, aide aux victimes, etc.), ils bénéficient d’une formation continue et d’espaces de supervision.
Oui, nous évoquerons avec vous cette question lors du premier échange. Sachez que l’inirr accompagne les personnes victimes d’un prêtre diocésain ou d’un laïc en responsabilité dans l’Église.
Oui, ce n’est pas un obstacle pour saisir l’inirr. Nous évoquerons avec vous cette question lors du premier échange.
Il est nécessaire, dans ce cas particulier, de prendre contact avec nous pour étudier votre situation.
Vous pouvez assurer à votre proche que l’inirr garantit la confidentialité des échanges et veille à respecter le rythme et les besoins de chacun. L’équipe de l’inirr, formée à l’accompagnement des personnes victimes de violences sexuelles, s’attache à offrir un accueil inconditionnel, bienveillant et bien évidemment sans jugement.
Malheureusement non, la mission de l’inirr est orientée vers l’accompagnement des personnes victimes directes.